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LE POIDS DES NUAGES

LE POIDS DES NUAGES (2024)
Inspiré du mythe d’Icare, Le Poids des nuages est un spectacle intense, physique et touchant, qui explore la relation de deux hommes suspendus entre ciel et terre. Une performance circassienne poétique et spectaculaire qui nous transporte et nous émeut.

Embrassant le rêve d’Icare, Le poids des nuages explore la relation de deux êtres en quête d’absolu.

Après Home, Damien Droin nous emporte dans une nouvelle aventure défiant les lois de la gravité dans laquelle il poursuit sa recherche sur l’envol, la chute et la suspension.

Utilisant la spectaculaire capacité de rebond de son immense trampoline, il part, à l'assaut du ciel. Perchés sur une échelle, les deux acrobates se jouent du vide, avec pour seul filet la toile de 60 m2.

Entre contrôle et lâcher prise, ils tentent des équilibres improbables, chutent, remontent, se dépassent et se réinventent ; jouant de leurs similitudes, de leurs différences et de leur complémentarité.

Au langage circassien, Damien mêle la chorégraphie de Dominique Boivin, pour libérer le mouvement à travers la danse. La virtuosité reste totale, mais la performance gagne en subtilité ; pétrie d’humanité, poétique et facétieuse, elle nous transporte et nous émeut.

 Embrassant le rêve d’Icare, Le poids des nuages explore la relation de deux êtres en quête d’absolu.

Après Home, Damien Droin nous emporte dans une nouvelle aventure défiant les lois de la gravité dans laquelle il poursuit sa recherche sur l’envol, la chute et la suspension.

Utilisant la spectaculaire capacité de rebond de son immense trampoline, il part, à l'assaut du ciel. Perchés sur une échelle, les deux acrobates se jouent du vide, avec pour seul filet la toile de 60 m2.

Entre contrôle et lâcher prise, ils tentent des équilibres improbables, chutent, remontent, se dépassent et se réinventent ; jouant de leurs similitudes, de leurs différences et de leur complémentarité.

Au langage circassien, Damien mêle la chorégraphie de Dominique Boivin, pour libérer le mouvement à travers la danse. La virtuosité reste totale, mais la performance gagne en subtilité ; pétrie d’humanité, poétique et facétieuse, elle nous transporte et nous émeut.

Publié le 08/01/2024


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