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classique

Beethoven Imperial

Beethoven Imperial (2018)
Deux oeuvres majeures du répertoire beethovénien pour une équipe de rêve du mélomane : Laurence Equilbey, Nicholas Angelich et Insula Orchestra. Aussi à l'aise dans la musique du XIXe siècle que dans la création contemporaine, le pianiste aux doigts d'airain a choisi d'honorer ce soir Beethoven, l'un de ses compositeurs de prédilection.

Associé de nouveau à sa complice Laurence Equilbey, après un impressionnant “Beethoven Héroïque” durant la saison 2015-2016, il fait chanter le piano véhément et passionné du Concerto pour piano n°5 « L'Empereur », œuvre d'un romantisme sincère aux allures tantôt hardies (premier mouvement), tantôt dépouillées, mystérieuses et spirituelles (mouvement lent), puis enfin extatique dans l'éblouissant finale, requérant une haute maîtrise digitale et intellectuelle. L’orchestre interprète la Symphonie n°7, une musique tout aussi impérieuse, s'achevant après la célèbre marche funèbre au deuxième mouvement, par l'un des finales symphoniques les plus puissants du répertoire.

Publié le 09/01/2018


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